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Dans
la rubrique "belles images", on ne va pas se priver de celle-ci, qui allie
esthétisme et rigueur technique : le plongeon en duo n'en est que
plus difficile encore en comparaison du saut en solo, car non seulement
chaque plongeur doit effectuer un saut irréprochable, mais la synchronisation
du duo compte également pour beaucoup dans la note finale qui sera
attribuée.
![]() |
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Jean
Francheteau, directeur de l'Ecole doctorale des sciences de la mer à
Brest lance un cri d'alarme lors des entretiens "science et éthique".
Selon lui, la recherche scientifique marine se heure à la cupidité
d'Etats soucieux de s'approprier les richesses des fonds marins.
Presque nostalgique, Jean Francheteau se souvient : «Il y a moins de vingt ans, nous autres scientifiques pouvions conduire des recherches en toute tranquillité dans un milieu extra-territorial : les océans». Et puis il y a eu le coup de force des Etats-Unis. Encore eux, diront certains. Au début des années 80, Washington revendique l'exploitation d'une bande côtière de 200 miles marins, tandis que le droit international limite les eaux territoriales à 12 miles. Progressivement, de nombreux États adoptent la position américaine qui devient la règle. Aujourd'hui, cette superficie baptisée ZEE pour zone économique exclusive est devenue le cauchemar de certains scientifiques. Pour preuve, les archéologues sous-marins ont réussi à localiser la plus vieille épave connue au monde, une galère phénicienne qui repose au large d'Israël et de l'Egypte. «Et bien il a fallu demander des autorisations à ces deux États pour mener les fouilles et finalement, l'Egypte a refusé lorsque notre navire scientifique appareillait» déplore Jean Francheteau. Et même lorsque les recherches sont permises, il faut partager les résultats avec les pays des ZEE sur lesquelles elles sont effectuées et accepter la présence permanente de leurs observateurs. A des milliers de miles de là, à l'ouest de l'Irlande, mais toujours baignés par une veine d'eau méditerranéenne qui circule en Atlantique, quelques coraux des profondeurs vivent sans doute leurs derniers jours de tranquillité. Ceux qui les étudient craignent en effet que l'exploitation pétrolière sous-marine ne détruise ces organismes étranges, véritables témoins de la santé des fonds marins. «En 1978, le record de forage sous-marin était de 312 mètres sous la surface. En 2002, les compagnies pétrolières et gazières atteignaient 2156 mètres» rappelle Jean Francheteau, qui redoute l'intensification de l'exploitation des richesses en eaux profondes, au détriment d'un milieu naturel encore mal connu. Car la mer, véritable berceau de l'humanité, contient encore en son sein des ressources insoupçonnées. Telles les fameux hydrates de gaz, ces structures cristallines composées d'eau, de méthane et de dioxyde de carbone qui tapissent le plateau continental sous-marin. «Ces structures s'obtiennent dans des conditions particulières de pression et de température» explique Jean Francheteau. Une manne énergétique qui représente au bas mot le double des réserves de pétrole et de gaz connues. Une manne qui par ailleurs intéresserait particulièrement les Etats-Unis dans leur course à l'indépendance énergétique. «Seulement l'exploitation de ce méthane pourrait être dangereuse si elle s'accompagne de rejets massifs de dioxyde de carbone», gaz en partie responsable de l'effet de serre, s'inquiète le scientifique. Or il n'existe à
ce jour aucune instance de contrôle susceptible de recevoir les griefs
des scientifiques et de modérer les ardeurs économiques des
États dans leur ZEE respectives. Pire, selon Jean Francheteau, la
tendance serait aux revendications d'accroissement de ces zones réservées
au fur et à mesure du développement technologique permettant
d'accéder à des ressources situées de plus en en plus
profond.
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Archimède
propose des cours de natation pour les adultes qui gardent un mauvais souvenir
de la piscine ou de la mer ou qui ont peur de l'eau : voici une idée
et une démarche très intéressantes !
"...L'esprit d'Archimède : une autre façon d'apprendre à nager, une approche pédagogique originale qui va changer votre relation à l'eau..."
Allez faire un tour sur leur site, et découvrir leur vision de l'apprentissage de l'eau "...Vos premières
séances vous révèleront que nager devient pour vous
aussi... une aventure possible et agréable. Avec le temps, vous
découvrirez et vous maîtriserez les appuis aquatiques... et
tout naturellement, vous apprendrez à nager ! Archimède propose
vraiment une autre façon d'apprendre à nager. Une école
de douceur..."
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Ca
y est : les villes du championnat du monde de Natation 2004 ont été
choisies et validées par la Fédération Française
de Natation (F.F.N), et l'équipe de France n'ira pas partout !
"...la participation
française au circuit 2003-2004 de la Coupe du Monde concernera cinq
des huit étapes proposées par la FINA : Melbourne (Australie),
Stockholm (Suède), Berlin (Allemagne), New York (Etats-Unis) et
Rio de Janeiro (Brésil). L'impasse sera faite pour Daejon (Corée),
Durban (Afrique du Sud) et Moscou (Russie)..."
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De
l'eau vient la vie, de l'eau viendra la lumière...
Voici résumé dans un slogan simple et beau tout l'espoir mis dans la découverte de deux chercheurs, qui ont inventé une nouvelle façon de produire de l'électricité, qui pourrait à terme faire fonctionner des appareils électroniques avec de l'eau du robinet… Ce n'est qu'un début de recherches scientifiques, mais c'est peut-être le début d'une révolution ! "Cela faisait 164 ans que cela n'était pas arrivé : une équipe de chercheurs canadiens a trouvé un nouveau moyen de produire de l'électricité. Le dernier avait été Michael Faraday, en 1839. L'idée à la base de cette découverte est simple et pourrait permettre de produire de l'électricité grâce à de l'eau pressurisée. Elle a été le fruit d'un heureux hasard. Quand l'eau se déplace Larry Kostiuk et Daniel Kwok, chercheurs au département d'ingénierie de l'université d'Alberta, ont mis un commun leurs spécialités pour arriver à cette découverte. Le premier est spécialiste en chimie de la combustion. Le second en interactions des surfaces. C'est en entendant Kwok parler d'électrokinésie (production de charges électriques par le mouvement de substances) qu'il eut une idée. Celle-ci part d'un constat déjà bien connu des scientifiques : lorsqu'un liquide se déplace sur une surface solide, il crée une fine couche d'électrons et d'ions, chargés positivement et négativement. En séparant ces charges, on crée de l'électricité Les deux chercheurs ont constitué une équipe pour mettre leur idée en pratique. Ils ont d'abord fait couler de l'eau dans un tube microscopique : une charge avait bien été générée, mais elle était trop faible. Un de leurs étudiants imagina alors un tamis fait de 500.000 de ces tubes. Avec ce tamis, ils réussirent à générer 10 volts d'électricité et allumer des diodes. Il faudra du temps
avant que cette découverte ne débouche sur des applications
concrètes. Mais elle a recueilli des louanges de la communauté
scientifique et on imagine déjà à quoi elle pourrait
servir. Elle pourrait ainsi permettre de fabriquer des appareils électroniques
à durée de vie illimitée. Mais aussi, à plus
long terme, permettre une plus grosse production d'électricité,
qui pourrait se faire par exemple au niveau des stations d'épuration."
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"Est-ce
que nager vite c'est nager bien ? Est-ce que nager bien fait nager vite
? "
Voici encore un thème de débat qui a eu du succès : à en croire vos nombreux messages, la question a suscité de nombreuses réactions et avis... Mais contrairement aux précédents débats, de nombreux témoignages comportent également une part d'interrogation : voyons tout cela dans notre fameuse synthèse, dont vous connaissez bien le principe maintenant... Lire
la synthèse
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Voici
une bonne question, et il y a de quoi s'y perdre ! Vous avez deviné
de quoi on parle ? Oui, des départs en Natation, ou plutôt
des règles qui régissent les faux-départs.
Il y a quelques années, c'était simple et limpide : 2 faux-départs étaient autorisés, et le troisième était disqualificatif (au niveau du départ d'une série de nageurs, c'est à dire quel que soit le nageur ayant provoqué le faux-départ N° 1, 2 ou 3). Puis, il y a eu restriction de cette règle à 1 faux-départ uniquement autorisé, avec les mêmes applications : le second était donc disqualificatif. Enfin, sont venus les penseurs profonds des règlements, et depuis, il faut se concentrer pour s'y retrouver (déjà sur le plot, c'est pas bon pour la concentration de la course, ça...) : voici donc pour y voir un peu plus clair (ça marche même si vous nagez sans lunettes de Natation, mais serrez bien l'élastique quand-même) un petit résumé (donc plus court) simplifié (donc plus compréhensible) de ce que disent les textes : Dispositions particulières prises par la FFN pour l 'application des règlements FINA 2002 sur les départs (article SW 4) : Dans le cas des compétitions individuelles : - Application de la nouvelle règle FINA c'est à dire pas de faux départ autorisé pour les nageurs de catégories Benjamins et au-dessus, quelque soit le type de compétition animation, qualificative ou de référence. - Exception pour les compétitions de nageurs Avenirs et Poussins, où un faux départ est autorisé quelque soit le type de compétition: animation, qualificative ou de référence. Donc, l'importance de la compétition n'influence plus la sévérité des juges ni du règlement (très dommage, mais c'est ainsi). C'est la catégorie d'âge qui permet une petite différence de traitement : les plus jeunes ont droit à 1 faux-départ, alors que leurs aînés n'ont carrément pas le droit à l'erreur ! Cas des compétitions par équipes - Pour toutes les compétitions par équipes, inscrites au programme fédéral, un faux départ est autorisé. La règle dite de "deux départs" du précédent règlement est donc retenue. Cette règle est applicable aux compétitions par équipes organisées par les clubs ou les comités départementaux et régionaux ou inscrites au programme fédéral. - une épreuve de relais nagée lors d'une compétition individuelle doit être considérée comme une épreuve individuelle. Alors là, ça se complique encore pour les relais ! Si le relais est nagé durant une compétition individuelle, alors on applique les règles des courses individuelles (faudra m'expliquer ce qu'est un relais dans une compétition individuelle, parce que je ne connais pas beaucoup de compétitions uniquement composées de relais, du début à la fin de la réunion). Bref, pour les "compétitions
par équipe" (notion encore nouvelle, ou on devine que les nageurs
nagent individuellement ou en relais, mais qu'ensuite, un décompte
des points rapportés par club permet un classement global), faut
aussi savoir si la compétition en question est "inscrite au programme
fédéral" !
Et je ne vous parle
pas des épreuves de relais nagées lors d'une compétition
individuelle non-inscrite au programme fédéral, avec des
catégories d'âge de nageurs différentes ! Et
qu'en disent les règlements des différents pays ? Comment
dit-on déjà en hollandais "j'y comprend rien !" ? Ok, faut
répondre en espagnol "tu te débrouille !" ou en autrichien
"fais comme tu le sent...". Bref, et plus sérieusement, vous avez
intérêt à travailler vos départs, parce que
le plus sur, c'est encore d'éviter à tout prix le faux-départ.
Alors, on ne bouge plus un seul orteil, et on attend le signal... concentrés,
on vous dit...
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On
voit très souvent des nageurs arriver au bord de la piscine, y plonger,
et attaquer leur séance à un rythme beaucoup trop élevé,
c'est à dire à peine plus lentement que le reste de leur
distance : grosse erreur ! (et ne dites pas qu'il vous faut "bouger pour
vous réchauffer" parce que l'eau est froide : on ne vous croit pas.)
Non-seulement ces nageurs ne sont pas correctement (voir pas du tout) échauffés au niveau cardiaque, musculaire et articulaire (avec tous les risques que cela implique), mais ils diminuent d'autant leur potentiel de travail de la séance toute entière. De la même manière qu'un moteur mal rôdé ne pourra pas fournir un bon rendement, le corps d'un nageur doit lui aussi monter en chauffe progressivement, et d'autant plus pour un adulte ! L'échauffement a un rôle primordial dans la pratique de n'importe quel sport en général, et de la Natation en particulier. En effet, celui-ci prépare le muscle à l'effort pour qu'il se fasse dans les meilleures conditions. Il est également important de prêter une grande attention aux articulations car celles-ci sont fragiles. Enfin, le travail cardiaque impose lui aussi une montée en travail progressive. En règle générale, un échauffement se divise en deux parties : un échauffement général (ou l'on travaille par "chaîne" (chaînes musculo-articulaires) et un second "spécifique" (on va vers le muscle ou segment isolé). Insistez sur les épaules, le cou, les triceps, les chevilles, et allez-y tout doux sur les jambes : battements, ondulations ou ciseaux. En crawl, débutez la respiration tous les 3 temps dès le début, et sur-ventilez très légèrement les 3 ou 4 premières longueurs. Travaillez sur l'amplitude des mouvements de bras, sans y ajouter trop de puissance ni trop de tonicité. Visualisez bien mentalement vos placements, vos prises d'appuis et vos segments propulsifs aquatiques. Mixez différentes nages, mais sans changement trop fréquent. Les exercices trop spécifiques (entre autre à base d'accessoires) sont à proscrire durant cette phase. Souvenez-vous qu'un
bon échauffement complet représente environ un cinquième
à un quart de la distance totale de la séance ! Et profitez
de votre échauffement pour vous relaxer, faire le vide dans votre
tête et vous concentrer sur votre nage, découvrir un nouveau
bassin, repérer les bordures, marques, fanions, lumières,
et autres éléments, penser à votre séance,
prendre tout simplement plaisir à vous retrouver dans l'eau, etc...
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Le
site officiel de la Fédération Française de Natation
(F.F.N.) a adopté, pour cette rentrée, un "look plus moderne",
et une "mise à jour du fond" : introduction en flash sur la page
d'accueil, menus colorés, ... pour le reste, pas de changement,
avec notamment une rubrique "liens" toujours aussi vide.
Par contre, la boutique TYR, la ligne TYR, les maillots TYR, les logos TYR, ... on a bien compris qui était l'équipementier de la FFN, pas de doute possible. Reste de bonnes infos pour ceux qui suivent principalement les résultas des compétitions, et les news des nageurs de l'équipe nationale et des grand clubs. ![]() www.ffnatation.org
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Après
de chaudes et méritées vacances, voici la rentrée
sur le site NAGER : alors que certains retrouvent avec bonheur les bassins
des piscines, d'autres n'ont jamais vraiment arrêté de nager
: en mer, en lac, en rivière, et dans les multiples piscines de
France ... ou d'ailleurs.
Les bassins du monde Bon nombre de vos
messages relatent en effet vos expériences dans les piscines allemandes,
espagnoles, américaines, australiennes, et même du bout du
monde ! Un beau tour de la planète des bassins, que le site NAGER
relatera peut-être un jour, après avoir collecté suffisamment
d'infos : n'hésitez donc pas à nous envoyer vos expériences
et vos impressions sur les bassin terriens : à
vos mails !
Le sujet de réflexion proposé récemment par le site NAGER a fait turbiner beaucoup de cerveaux de nageurs et de nageuses, et les messages ont été nombreux : encore quelques jours avant la synthèse : profitez-en pour participer à cette réflexion commune, et pour apporter votre pierre à l'édifice ! "est-ce que nager
vite c'est nager bien ? Est-ce que nager bien fait nager vite ? qu'est
ce que nager vite et donc qu'est ce que nager bien ? "
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L'Américain
Michael Phelps a battu un cinquième record du monde lors de la dernière
journée des championnats du monde de natation à Barcelone.
Phelps s'est largement imposé en finale du 400 mètres quatre nages en quatre minutes 09,09 secondes, soit plus d'une seconde et demi de moins que son précédent record établi en avril en 4'10"73. Il devance le Hongrois Laszlo Cseh et le Tunisien Oussama Mellouli. Avec cinq records
du monde battus en six jours, Phelps fait mieux que son glorieux compatriote
Mark Spitz qui avait établi quatre nouveaux records pour remporter
sept médailles d'or aux Jeux Olympiques de Munich en 1972.
![]() Malgré sa surprenante défaite en finale du 100 mètres papillon, au cours de laquelle Ian Crocker a même battu l'un des cinq records établis par Phelps au cours de ces championnats, le jeune Américain, âgé seulement de 18 ans, aura marqué l'événement de son empreinte. Il a ainsi battu
les records du 100 et du 200 mètres papillon, celui du 400 mètres
quatre nages et deux fois celui du 200 mètres quatre nages.
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Avec
14 records du monde, la consécration de Michael Phelps, la résurrection
d'Alexander Popov et la diversification réussie de Ian Thorpe, les
Championnats du monde de natation de Barcelone ont été "un
des meilleurs Mondiaux de l'histoire", selon Mustapha Larfaoui, le président
de la Fédération internationale (FINA).
L'incontestable star a été l'Américain Michael Phelps, qui a dépassé son compatriote, le légendaire Mark Spitz, en battant cinq records du monde individuels lors d'une même compétition (Spitz en avait battu 4 à Munich en 1972 + 3 relais). Le Kid de Baltimore, âgé de 18 ans, a remporté trois médailles d'or individuelles, et deux médailles d'argent (dont un relais) et s'est aussi offert la 4e performance de tous les temps en 200 m libre (où il n'était pas inscrit en individuel) lors du relais 4x200. "Chaque fois qu'il entre dans l'eau, il fixe le temps à battre pour les autres", a affirmé, admiratif, le Russe Alexander Popov. Phelps, qui testait son programme pour les Jeux, a montré qu'il pouvait prétendre à tout à Athènes. De plus, pour son premier grand Championnat, le surdoué a aussi connu la saveur amère de la défaite sur 100 m papillon, défaite qui l'a privé de la participation au relais 4x100 m 4 nages, qui a donné lieu à l'un des records du monde les plus spectaculaires du Mondial. "Globalement, je suis très content. J'étais venu avec l'objectif d'améliorer tous mes meilleurs temps personnels et c'est ce que j'ai fait. C'est vrai que j'ai perdu le 100 m papillon mais je passe sous le record du monde lors de la course (Crocker bat le record du monde aussi), et je ne peux donc pas me plaindre". "Je déteste perdre mais il faut voir le côté positif: j'ai beaucoup appris en gagnant des courses mais aussi en perdant celle-là. J'ai emmagasiné de l'expérience en vue d'Athènes", a conclu Phelps. L'autre grande star a été Popov, qu'on annonçait en pré-retraite mais qui a réalisé les meilleurs mondiaux de sa carrière à 3O ans. Auteur d'un doublé 100-50 m libre, Popov a dompté le Néerlandais Pieter van den Hoogenband, privé de tout titre mondial comme à Fukuoka (Japon), et de décevants Américains sur le sprint. Le "Tsar" a également remporté sa première médaille d'or avec le relais 4x100 m et a conclu les Championnats sur une médaille d'argent avec le 4x100 quatre nages. "Je n'ai pas encore pensé à la retraite. Barcelone a toujours été spécial pour moi. C'est ici que j'ai commencé en quelque sorte. A Barcelone, on continue", a affirmé Popov, onze ans après s'être révélé au monde lors des Jeux de 1992. L'Australien Ian Thorpe, avide de nouveaux défis, a moins attiré l'attention médiatique qu'à l'habitude mais n'en a pas moins réussi de superbes Championnats. En plus de ses deux victoires sur 200 et 400 m (+ une au relais 4x200), il a également réussi à arracher une médaille de bronze sur l'épreuve reine du 100 m et la médaille d'argent sur le 200 quatre nages derrière l'intouchable Phelps. Agé de 21 ans, Thorpe, qui découvrait ces deux épreuves lors d'un grand championnat, a lui aussi prouvé qu'il pouvait nourrir des ambitions pour entrer dans la légende à Athènes. A noter également chez les messieurs, la confirmation de la domination de l'Australien Grant Hackett sur les longues distances (or sur 800 m et 1500 et relais 4x200; argent sur 400) et de l'Américain Aaron Peirsol sur le dos (100 m et 200 m, argent sur 4x200 m libre) Chez les dames, il n'y a pas eu de révélation. L'Américaine Natalie Coughlin, qui avait fait le pari de sept épreuves dans trois nages différentes, n'a pas dépassé le premier jour, terrassée par une grippe. La star féminine
des Mondiaux a donc été l'Américaine Jenny Thompson,
30 ans. "Seule survivante des Jeux de Barcelone", elle a remporté
cette semaine une bagatelle de cinq médailles (dont l'or sur 100
m papillon), portant à 14 son nombre de médailles dans des
Championnats du monde et à 23 celles remportées dans de grands
championnats.
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Les
éditions Atlantica proposent un certain nombre d'ouvrages spécialisés
dans la Natation, qui présentent chacun un intérêt
particulier; il y en a pour tous les goûts, histoire de passer des
vacances studieuses...
"Nous commercialisons 10 ouvrages sur la natation : De Jean Taris à Kiki Caron en passant par Roxana Maracineanu ou Franck Esposito, que ce soit des beaux livres illustrés, des manuels de formation, des méthodes d'entrainement, tous ces ouvrages sont des références dans le milieu sportif. " Découvrez
tous ces titres en suivant le lien ci-après :
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La
Française Virginie Dedieu a remporté la médaille d'or
du solo de natation synchronisée des 10es championnats du monde
de natation, à Barcelone. La médaille d'argent est revenue
à la Russe Anastasia Ermakova et le bronze à l'Espagnole
Gemma Mengual.
Virginie Dedieu est la deuxième nageuse française de l'histoire à être sacrée mondialement. La première avait été la dossiste Roxana Maracineanu (200 m) en 1998 à Perth (Australie). Virginie Dedieu avait obtenu deux fois l'argent aux Mondiaux en 1998 à Perth (Australie) et 2001 à Fukuoka (Japon). Elle est également championne d'Europe en solo et médaille de bronze en duo avec Myriam Glez à Berlin en 2002. Etudiante en troisième
année d'architecture à Paris, Virginie a décidé
de raccrocher après les J.O., estimant qu'elle ne pouvait pas vivre
de sa discipline. Dommage...
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Franck
Esposito va tenter à Barcelone de conquérir le titre mondial
du 200 m papillon avec le handicap de ses 32 ans et l'avantage du meilleur
temps mondial de l'année et troisième chrono de tous les
temps, 1'54"70, à douze centièmes du record du monde.
"Ces championnats du monde représentent juste une étape, l'avant-dernière avant les Jeux olympiques d'Athènes en 2004. J'y nagerai d'abord pour finir dans les cinq premiers afin de me qualifier directement pour les Jeux d'Athènes, en août 2004, mon seul et unique objectif depuis octobre 2000", dit-il. "Ces Jeux, qui seront les quatrièmes de ma carrière, sont mon but suprême et ultime", ajoute le recordman d'Europe en 1'54"62, également recordman du monde en petit bassin. "Si ça veut bien marcher, je ferai un podium. Quelle que soit la médaille, je suis sûr que mon fils, ma femme, mes parents et moi vibreront. Le reste m'importe peu." Le chef de file de la natation française disputera séries et demi-finale le 22 juillet. La finale aura lieu le 23. "Si ça ne marche pas, je ne ferai pas de podium et je n'en ferai pas une maladie. Début septembre, je me remettrai à l'eau à l'entraînement dans le bassin du Cercle des Nageurs de Marseille", dit-il. A la mi-mai, Esposito a quitté Michel Guizien, qui l'entraînait à Antibes depuis douze ans, pour "casser la routine". Marc Begotti, qui s'occupe également de lui depuis 1997 et a entraîné Catherine Plewinski de 1981 à 1993, reste toujours son entraîneur principal Début septembre, "Espo", natif de Salon-de-Provence, s'installera momentanément à Marseille et sera, lui aussi, pris en charge par Denis Auguin, jeune entraîneur d'avenir du Cercle des Nageurs de Marseille. A la veille des championnats du monde, il a arrêté la date de sa fin de carrière : "Après Athènes, je ferai une partie de la saison 2004-2005, ses coupes du monde et des meetings d'adieux. Je m'arrêterai juste avant les championnats du monde de Montréal du 17 au 31 juillet 2005." Le papillonneur se muera alors en manager général du Cercle des Nageurs d'Antibes, son club depuis douze ans, déjà, et, comme entraîneur du Pôle France, toujours à Antibes. Depuis sa médaille olympique de bronze à Barcelone en 1992, l'Antibois est, logiquement, attendu sur la plus haute marche d'un podium mondial. Quadruple champion d'Europe en 1991, 1997, 1999 et 2002, il a toujours échoué dans sa quête de titre mondial - 2ème en 1998, 4ème en 1991 et 2001, 6ème en 1994, et dans celle d'un titre olympique - 4ème en 1996 et 8ème en 2000 en 1'58"39. Aux derniers championnats du monde, en juillet 2001, à Fukuoka, au Japon, Franck Esposito avait remporté les séries du 200 m papillon en 1'56"05 et les demi-finales en 1'55"03 comme l'Américain Tom Malchow. "A cause d'une envie de trop bien faire", il avait terminé quatrième de la finale en 1'55"71. L'Américain Michael Phelps, alors âgé de 16 ans, s'était adjugé la finale en 1'54"58, nouveau record du monde. "A ceux qui pensent que je n'ai pas répondu à leur attente, je dirai de monter un jour sur un plot en finale d'un championnat du monde. Là, ils se sentiraient très seul. De toute ma vie, c'est l'endroit où je me suis senti le plus seul au monde", reconnaît-il après treize ans en équipe de France. "A ceux qui font la fine bouche sur mes quatrièmes places, je dirai aussi que j'aimerais bien que tous les nageurs, sélectionnés en équipe de France à Barcelone finissent dans les quatre premiers. "Une quatrième place mondiale n'est pas banale comme n'est pas banal, non plus, mon quatrième titre européen consécutif de Berlin, en juillet 2002, qui m'a fait chialer comme un gosse." Lors des derniers championnats de France, à Saint-Etienne, en finale, le 16 avril dernier, trois jours après ses 32 ans, Esposito a frôlé de douze centièmes de record du monde de Michaël Phelps avec un temps de 1'54"70. Pendant les deux tiers de la course, il était largement dans les temps du record du monde. Cette finale reste sa dernière course, avant Barcelone et ce temps son temps de référence. "Pour être
sur le podium, il nous faudra nager en 1'54" à Phelps, Malchow et
moi et au plus mal en 1'55"10", prédit-il.
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Au
lendemain de la date-butoir de transmission des candidatures, le Comité
international olympique (CIO) a annoncé avoir reçu neuf dossiers
de candidatures. Les villes, désormais considérées
comme "requérantes" sont: Istanbul (Turquie), La Havane (Cuba),
Leipzig (Allemagne), Londres (Royaume-Uni), Madrid (Espagne),
Moscou (Russie), New York (Etats-Unis), Paris (France)
et Rio de Janeiro (Brésil).
Depuis la rénovation des JO en 1896 à l'initiative du baron Pierre de Coubertin, une seule édition, celle de 1956 attribuée à Melbourne, avait suscité un nombre aussi important (9) de candidatures. Formellement présentées par leur Comité national olympique, elles ont chacune accompagné leur dossier d'un chèque de 100.000 dollars (88.250 euros), somme fixée par le CIO pour avoir le droit de concourir. C'est pas gratuit,
l'olympisme !
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"...
Le 21 mai 2003, à l'Hôtel de Ville, Paris s'est lancé
officiellement dans la course à l'organisation des Jeux Olympiques
de 2012. Après que Bertrand Delanoë, le maire de la Capitale,
eut revendiqué "l'honneur" d'accueillir dans neuf ans les JO et
les Jeux Paralympiques, le président Sérandour a déclaré
que ce serait "une chance formidable pour le sport français" si
Paris était choisi par le Comité International Olympique
le 6 juillet 2005 à Singapour..."
Après les
sommes englouties pour la même tentative lors du dernier dossier,
l'engagement d'un nombre impressionnant de sportifs du monde entier pour
le dossier de la France, et le fiasco monumental au final, il semble que
l'on n'ai pas tiré beaucoup de conclusions, et que tout recommence
à chaque fois... Courage, c'est reparti...
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Toutes
les piscines ne sont pas forcément conçues pour nager; la
preuve, cette photo d'un complexe gigantesque, à la limite de la
fiction, qui n'apporte certes pas grand-chose en terme de bassin et de
couloirs de nage, mais qui offre...
![]() ...une plage artificielle complète de rêve... et avec palmiers et toit ouvrant intégral, s'il vous plait... Dans le genre "dessine-moi la piscine idéale... pour le farniente en vacances", c'est pas mal (avant la reprise des séances de nage plus sérieuses pour la rentrée, bien-sûr !). Notez l'aquarium mural en fond de plage, les tribunes, les restaurants etc.... Le sable est-il beau ? Pour voir l'image
agrandie, cliquez ici (taille
env. 230 Ko).
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L'Américain
Michael Phelps a nagé le 200 mètres quatre nages en 1:57.94
secondes, pour battre le précédent record datant de 1994
qui était de 1:58.16.
Phelps, qui vient de fêter ses 18 ans, a réalisé cette performance dans la piscine de Santa Clara, lors d'une réunion de quatre jours servant de préparation aux prochains championnats du monde de natation qui auront lieu à Barcelone. L'ancien record avait été établi par le Finlandais Jani Sievinen à Rome. Phelps avait déjà
battu le record du monde du 400 mètres quatre nages quand il avait
signé un temps de 4:10.73 minutes.
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Troisième
temps des séries, derrière Roxana MARACINEANU, la Melunaise
Laure MANOUDOU a mis le turbo en finale du championnat Mare Norstrum au
Canet, pour devancer son aînée et remporter le 100 m dos en
1:01.91, à 23 centièmes de son record personnel.
Quant à Roxana,
elle a occupé le troisième rang, celui du bronze, en 1:03.20.
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Pas
si évident de passer du monde des terriens au monde aquatique des
nageurs : de multiples fiches pédagogiques permettent aux enseignants
d'appréhender ces notions, et de définir des stratégies
de travail adaptées au public cible.
En voici un petit
extrait, qui est un bon exemple de la synthèse des différences
entre ces deux mondes : un tableau comparatif pour réfléchir
...
(source: http://ienacy1.edres74.ac-grenoble.fr/eps/fichpisc.htm) |
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Le
célèbre nageur Russe Alexander Popov a battu le record du
Championnat du monde du 50 m libre (21.98), alors que la Néerlandaise
Inge De Bruijn et l'Américain Michael Phelps ont fait une démonstration
respectivement sur le 50 m et 100 m papillon des séries des Mondiaux
de Barcelone. Quel retour !
(source: Yahoo sport) |
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Les
enfants, les personnes souffrant d'affections pulmonaires ou cardiaques
et celles du troisième âge respirent à Athènes
un air mauvais pour leur santé 274 jours par an, soit quelque
neuf mois sur douze, selon une étude de l'école polyctechnique
d'Athènes, publié tout recemment par le quotidien grec To
Vima.
Sur ce total, 91 jours par an, soit quelque trois mois, sont considérés comme mauvais pour l'ensemble de la population, selon l'étude. Cette étude rend compte de la première mesure systématique de la pollution atmosphérique réalisée dans la capitale grecque sur la base d'un indice de qualité de l'air (AQI, Air Quality Index) utilisé notamment aux Etats-Unis, et qui recense les niveaux des principaux polluants atmosphériques, précise To Vima. Les personnes appartenant à des groupes sensibles vivant à Athènes devraient ainsi limiter leurs efforts à l'extérieur pendant ces neuf mois de l'année, précise le rapport. Les zones les plus touchées sont le port du Pirée, la banlieue résidentielle de Maroussi, où est situé, au nord d'Athènes, le principal complexe sportif pour les jeux Olympiques de 2004, et celle, limitrophe, de Lykovrissi, précise le rapport. Les principaux agents polluants sont l'ozone et les particules atmosphériques. Bon courage pour
les athlètes...
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Championnats
du monde de natation à Barcelone : 3 records du monde sont déjà
tombés :
Celui du Japonais Kosuke Kitajima sur 100 m brasse (59.78) était presque espéré. La veille, en demi-finale, il avait été le deuxième nageur de l'histoire, après le Russe Roman Sloudnov (59.94), à passer sous la barre mythique de la minute (58.98). En finale, il a laissé planer le doute. A mi-parcours, il ne pointait qu'en sixième position. Mais ce surdoué qui a commencé à nager à cinq ans a ensuite passer la vitesse supérieure. "Une médaille, c'est bien pour mon pays. J'espère faire la même chose sur 200 m", a-t-il simplement commenté. Celui de l'Australien Matthew Welsh sur 50 m papillon (23.43) n'était pas non plus une énorme surprise. Même si on l'attendait plutôt ailleurs. Sur 100 m dos, par exemple, où il défendra son titre acquis en 2001 à Fukuoka (Japon) lors de la finale après avoir passé sans encombre les demi-finales. C'est un nageur infatigable. Enfin, le troisième record, celui de sa compatriote Leisel Jones sur 100 m brasse (1:06.37) était peut-être le moins attendu. Pourtant, il vient auréoler une jeune fille bourrée de talent qui a battu l'Américaine Amande Beard et la Chinoise Luo Xuejuan, qui voudra sûrement prendre sa revanche en finale. Franck Esposito,
par contre, totalement hors du coup, a été éliminé
dès les séries du 200 m papillon, après avoir terminé
en 27e position. Le champion d'Europe et tenant du meilleur chrono du Vieux
continent, n'a jamais été dans le rythme. Cinquième
après 50 m, il a gagné une place à mi-course, puis
a décliné pendant la deuxième partie, terminant à
la huitième et dernière place (2:01.70) de sa série.
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La
photo, on connaît. Elle est répandue, démocratisée,
et tout et tout. Mais pour les photos de nageurs ? au-dessus ou sous l'eau
? Là, ça se complique : on vise rapidement le matériel
des pros, et faut s'y connaître.
Pourtant, une marque d'accessoires de Natation, donc que l'on n'attendait pas vraiment sur le créneau des appareils photos totalement étanches, Speedo, sort un modèle simple et destiné à un large public. Et le marché ne fait que débuter : après le boom des numériques "terrestres", arrive l'ère des appareils photos aquatiques : aucun problème pour les prises de vues sous l'eau en piscine par exemple, là ou la clarté de l'eau permet de belles photos.
Un flash est même intégré au modèle. Voici donc à quoi il ressemble (et très raisonnable niveau prix : environ 56 euros) : à coup sûr, il va se faire rapidement plein de petits copains ! Alors à vos appareils, et appliquez-vous : on vous photographie ! (source: http://www.speedousa.com/IWCatProductPage.process?Merchant_Id=1&Catalog_Id=10&Section_Id=433&Product_Id=36904) |
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En
Natation, on nage globalement à la surface de l'eau, certes. Mais
avec quelle profondeur d'eau sous votre corps vous sentez-vous le mieux
? Nagez-vous plus vite s'il y a moins d'eau, ou au contraire au dessus
de plus grandes profondeurs ?
Techniquement, qu'est-ce que cela change ? En bref, la profondeur d'eau sous le nageur influence t'elle sa nage ? Voici une large réflexion qui nous concerne tous : après appel à ses fans, le site NAGER vous propose une petite synthèse des éléments reçus : allez vite vérifier tout ceci, c'est très intéressant... |
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Le
Russe Dimitri Komornikov a battu le record du monde du 200 m brasse
en 2 min 09 sec 52 centièmes lors de la réunion de natation
(grande bassin) Mare Nostrum de Barcelone.
(ancien record: 2:09:97 par Kosuke Kitajima (JAP) le 2/10/2002 à Busan, (CDS). Le Russe de 22 ans à peine avait battu le record d'Europe de la spécialité lors du meeting Mare Nostrum de Monaco une semaine avant. Il se positionne ainsi comme l'un des favoris des Championnats du monde à partir du 13 juillet également à Barcelone mais dans la piscine du Palais Sant Jordi et non celle du club de natation Sant Andreu qui a accueilli le premier record du monde de son histoire. "Je suis allé
vite aux premiers 100 m et comme je me sentais bien j'ai décidé
de continuer sur le même rythme. Je pensais améliorer mon
meilleur temps mais pas battre le record du monde", a affirmé le
jeune Moscovite.
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Voici
un grand maître de la Natation mondiale : Ian Thorpe, en plein 200
mètres lors des championnats du monde de Natation à Berlin,
tout recement.
Le site NAGER n'a pas résisté au plaisir de vous montrer cette photo du champion en plein effort, et surtout en phase d'inspiration active : ouverture des épaules, allonge du bras gauche, légère rotation du torse, alignement parfait de la tête dans l'axe du corps, et surtout optimisation du phénomène de vague frontale (dont le site NAGER a déjà parlé dans de précédents articles techniques). ![]() Notez bien comment Ian place sa respiration, au creux de cette vague : cela lui permet de minimiser la rotation du cou, et donc d'optimiser son inspiration. (Source: Nager - Photo: Markus Schreiber) |
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Boire ou nager, il ne faut pas choisir : c'est les deux ! Mais attention, on parle bien ici d'hydratation et de sport : Vous avez été nombreux à poser des questions sur ce sujet : Voici donc une petite synthèse qui propose un ensemble d'informations concernant l'hydratation dans le cadre d'une activité sportive. |
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50
m papillon
Fréderik Bousquet (Clichy 92, 22 ans, 1,88 m, 81 kg, étudiant en "business international" à l'université américaine d'Austin (Texas)) a battu en 24 sec 27/100 le record de France du 50 m papillon messieurs, en séries des Championnats de France de natation, qualificatifs pour les Mondiaux de Barcelone (Espagne) en juillet. L'ancien record appartenait en 24 sec 43/100 à Frank Esposito (Antibes), depuis le 20 août 1997 à Séville (Espagne) lors du passage au 50 m de la finale du 100 m papillon des Championnats d'Europe, où l'Azuréen avait conquis la médaille de bronze. 400m crawl Laure Manaudou (16 ans, nageuse de Melun), le grand espoir de la natation féminine française, a réalisé un coup double en battant le record de France du 400 m libre dames et en décrochant la qualification pour les Mondiaux de Barcelone (Espagne). Elle a, en 4 min
10 sec 68/100, amélioré de 1 sec 38/100e le record en grand
bassin qui appartenait à la Tourangelle Alicia Bozon.
(source: Yahoo sport) |