http://www.paris2008.fr 
(source: Nager)

• Donne aux gens plus que ce qu'ils attendent et fais-le avec goût.
• Lorsque tu dis " je t'aime ", dis-le sérieusement...
• Lorsque tu dis " je suis désolé ", regarde la personne dans les yeux.
• Ne te moque pas des rêves des autres.
• Ne juge pas les autres à travers leurs proches.
• Parle lentement, mais réfléchis rapidement.
• Si quelqu'un te pose une question à laquelle tu ne souhaites pas répondre,souris et demande-lui : "Pourquoi souhaites-tu savoir ? "
• Rappelle-toi que le plus grand amour et les plus grands succès comportent des risques majeurs.
• Quand tu perds, ne perds pas la leçon.
• Rappelle-toi les 3 " r " : respect envers toi-même, respect des autres, responsabilité de tes actions.
• Ne permets pas qu'un petit différend abîme une grande amitié.
• Souris lorsque tu réponds au téléphone. Celui qui t'appelle le sentira au son de ta voix.
• Lis entre les lignes.
• Rappelle-toi que ne pas obtenir ce que tu veux, quand tu veux est, parfois, un coup de chance.

Lowry s'inquiète que dans des sports supposés forts comme la natation, l'aviron, le cyclisme et l'athlétisme, le Canada n'a pas brillé. ''Sydney a été un révélateur. Nous avons besoin d'un meilleur système de sport dans ce pays, immédiatement''.  

Selon Lowry, le Canada pourrait payer ''cash'' lors des JO d'Athènes en 2004, son manque d'attention depuis les années 90. (source: Yahoo sport)

"Les grands champions, tels Thorpe, Klim, VDH, etc... peuvent-ils encore améliorer leurs performances ? si oui comment, sur quel plan ? 

Excellente question, qui mériterait une rubrique à elle toute seule. Mais donnons ici quelques éléments de réflexion, quelques pistes et quelques clés... 

L'amélioration des performances, à un très haut niveau, est la conjonction de multiples facteurs: 

Au niveau physique tout d'abord. Notons que les champions actuels sont de véritables "forces" de la nature, et qu'il sera difficile de faire mieux. La plupart d'entre-eux font plus de deux mètres, chaussent du 52, ont des mains de la taille de votre visage, ... 

Au niveau des entrainements, ici aussi, les techniques s'affinent depuis des années maintenant, et les grands nageurs se "mangent" déjà une quantité impresionnante de kilomètres ; environ 60 à 70 par semaine en période de préparation intensive. Les nageurs peuvent aussi changer de façons de s'entrainer comme s'expatrier aux Etats Unis pour mettre en pratique de nouvelles méthodes. 

Au niveau des technologies du matériel utilisé, principalement des maillots, et même avec l'arrivée des combinaisions, on aura du mal à faire mieux: y a-t'il mieux de la peau de requin ? 

Au niveau de la technique pure, il est toujours possible d'améliorer un point technique tel que les virages, la poussée sur le mur ,la respiration (pour les sprinters il faut savoir la "couper") mais il est vrai qu'arriver à ce tel niveau, la progression reste minime ou de quelques centièmes. 

Au niveau de l'age ? on peut le constater sur des nageurs(es) à priori en fin de carrière et qui explosent leurs performances, les records du monde ne sont pas réalisés que par de très jeunes. 

Au niveau du suivi  ? très certainement; les champions sont de nos jours étroitement suivi; Tous les paramètres médicaux, nutritionnels (prise continuelle de compléments nutritionnels) sont observés, analysés et optimisés.  

Celui qui gagnera demain sera le plus fort physiquement, techniquement, et dans sa tête, mais aussi le mieux suivi et le plus organisé. Si  tous les paramètres cités sont optimum "le jour J"; alors c'est un jour de victoire... (source: Nager + Pia)

"Après l'échec d'Atlanta, nous avons eu un bilan très positif lors des Championnats du monde, d'Europe et les JO, même si nous pouvions espérer des meilleurs résultats à Sydney, et nous avons gagné le pari de dépasser les 200. 000 licenciés", a déclaré Francis Luyce lors d'un point-presse au siège de la FFN. 

Les priorités de Francis Luyce, ancien détenteur du record du monde du 800 m libre, s'il est réélu, sont de porter le nombre de licenciés à 250.000 en 2004, transformer en emplois durables les 321 emplois-jeunes actuels et augmenter le nombre de partenaires économiques. La FFN accuse en effet, pour l'an 2000, un déficit de 3,4 millions de francs pour un budget de 47 MF. (source: Yahoo sport) 

As of today, ONLY the following have been approved by FINA: Adidas, Arena, Speedo, Tyr. 
Other brands cannot be worn until they are in compliance with the above rule." 

Traduction approximative mais suffisante : seules certains modèles de combinaisons de marque Adidas, Arena, Speedo et Tyr sont à ce jour homologués par la FINA, et donc acceptées en compétition. Exit les autres. (source: PceNatation)

De belles photos, des interviews (en anglais), des vidéos, etc... 
http://www.geocities.com/pietervdh2000 
  

D'une légende à l'autre, n'oubliez pas celle de Mark Spitz : elle est grandiose. Son site la retrace pour vous: http://www.cmgww.com/sports/spitz/index.html 
(source: Nager)

Côté Français, après quatre records nationaux améliorés samedi - Sophie De Ronchi,15 ans, en 2 min 13 sec 62/100 sur 200 m 4 nages dames, Hughes Duboscq, 19 ans, en 27 sec 61/100, sur 50 m brasse, Solenne Figuès, en 1 min 57 sec 10/100, sur 200 m libre, et Roxana Maracineanu en 28 sec 76/100, avec un 50 m dos ce sont cinq performances nationales qui sont tombées le dimanche. 

Solenne Figuès (1:03.41 au 100 m 4 nages et 54.78 au 100 m libre) et Roxana Maracineanu (1:00.50 au 100 m dos) ont encore brillé, chez les dames. Côté messieurs, Nicolas Rostoucher (14:46.16 au 1500 m libre) et Simon Dufour (1:55.01 au 200 m dos) ont également apporté leurs pierres au joli succès des Bleus sur leurs terres. 28/01/2001. (source: Yahoo sport) 

La Fréquence Cardiaque Maxi (FCM) 

Nous avons tous besoin, afin de déterminer la manière dont on appréhende les entraînements et les compétitions, d'une base de travail afin de bien gérer les efforts intenses ou/et longs que notre sport nous impose. Cette base de travail passe automatiquement par la connaissance de son corps et nottament de sa fréquence cardiaque. Différents calculs permettent de vérifier, en fonction de l'âge et des doses d'entraînement, la progression de l'endurance de celle-ci. Le cardiofréquence-mètre devient bien sûr indispensable à ces calculs, dans la mesure ou il va nous aider à prendre précisement notre poul. Le calcul peut être fait également en comptant le nombre de pulsations au poignet sur quinze secondes et en multipliant par quatre pour la moyenne par minute. 

Les abréviations : 

FCM : Fréquence Cardiaque Maxi 
FCE : Fréquence Cardiaque d'Entraînement 
FCR : Fréquence Cardiaque au Repos 

Comment calculer sa FCM : 

FCM= 220-âge (ex : FCM= 220-38=182) 

Les zones de travail (entraînement) : 

Zone aérobie=70 à 80% de la FCM 
Zone anaérobie=80 à 90% de la FCM 

La FCR se prend généralement le matin, en restant couché, afin que le calcul ne soit pas faussé. 

La FCE se détermine de la façon suivante : 

FCE=FCR+(FCM-FCR)x% de l'intensité (zone de travail) 

ex : 42+(182-42)x70% 
soit 42+91=133 

Les différents degrés d'intensité d'entraînement : 

50 à 60% = échauffement/récup 
60 à 70% = base, longue distance 
80% = endurance active 
85 à 90% = fractionné long, temps de soutien 
90 à 95% = fractionné court, VMA 

ex : 42+(182-42)x95% = 175 

Une précision tout de même, c'est que votre cardio n'est qu'un outil très précis qui ne vous servira qu'a effectuer un calcul, mais qui ne devra jamais remplacer les sensations...  

De plus, c'est à une personne compétente (l'entraineur) d'utiliser cet outil,car il saura non seulement l'utiliser correctement, mais également le lire correctement et l'interpréter correctement par rapport au cycle d'entrainement en cours et au nageur, pour en déduire ce qu'il faut. 
(source: InteractivePassion) 

"Le record du monde était mon objectif de fin de saison. Je suis pleinement satisfait de ma performance. C'est une bonne préparation en vue des Championnats du monde (en grand bassin) au Japon en juillet prochain", a déclaré Foster, 30 ans, seulement 7e du 50 m libre aux Jeux de Sydney.  

L'ancien record était détenu en 21 sec 21/100 par l'Américain Anthony Ervin depuis le 23 mars 2000 à Minneapolis (Etats-Unis).  

Le Britannique a devancé largement le surprenant Argentin Jose Meolans (21. 82) et le Russe Alexander Popov (22.03), 29 ans, quadruple champion olympique en 1992 et 1996. (source: Yahoo sport) 

"C'est vraiment satisfaisant de voir dans une période post-olympique une émergence de jeunes nageurs et la confirmation d'autres présents à Sydney", a déclaré à l'AFP le directeur des équipes de France, Claude Fauquet.  

Avec un total de 13 records nationaux améliorés lors des différentes étapes de la Coupe du Monde, la France réussit son meilleur total depuis la naissance de cette compétition, ce qui lui donne plein d'espoirs pour l'actuelle olympiade, a souligné le directeur adjoint des équipes de France, Patrick Déléaval. (source: Yahoo sport) 

Auréolé de son record d'Europe du 200 m brasse, à Valence (Espagne) lors des Championnats d'Europe en petit bassin, Perrot a pratiquement effacé le mauvais souvenir des JO de Sydney en devenant le premier Français à passer sous le "mur" symbolique de la minute au 100 m brasse en 59 sec 63. Il a ainsi amélioré de 54 centièmes de seconde son record, qui datait seulement d'un mois, pour réaliser la cinquième meilleure performance mondiale de la saison en petit bassin. 

Deux autres records de France ont été effacés : Romain Barnier sur 200 m dos (1:55.67) et le relais 4x100 m 4 nages messieurs antibois (3:35.23 par Barnier, Lionel Moreau, Esposito, Frédérick Bousquet). Au total, onze records de France sont tombés à Antibes, huit ayant été améliorés samedi: Perrot (100 m brasse), Sylvain Cros (800 et 1500 m), Esposito (100 m papillon), Clichy 92 (10x100 m libre) et Antibes (4x100 m libre) chez les messieurs, Melun-Dammarie (10X100 m libre) et Dauphins TOEC (4x100 m libre) chez les dames. 
(source: Yahoo sport)

Pour ce qui est de la flottaison, la densité de l'eau est égale à 1 , donc si un objet a une masse volumique plus grande que 1, il coule, etc... La propulsion est «régie» par la loi de l'action/réaction c'est-à-dire qu'à chaque action, il y a une réaction en sens opposé. ex:pour avancer tête , il faut que la propulsion vienne de l'arrière et inversement. Pour ce qui est de la respiration, je serais tenté de dire qu'elle influence la flottaison d'un individu et que la flottaison est influençée par l'aisance qu'a un individu à se trouver dans un milieu aquatique. 

En théorie,  tout le monde peut flotter... oui mais en pratique, c'est différent. En règle générale, les femmes flottent mieux que les hommes et ce, dû au fait qu'elles ont souvent une masse adipeuse plus importante que les hommes et que leur centre de flottabilité se trouve à la hauteur du nombril (juste au-dessus du centre de gravité). Pour les hommes, la masse musculaire est souvent plus importante que les femmes et leur centre de flottabilité se trouve à la hauteur des épaules alors que le centre de gravité se trouve toujours au niveau des fesses. Bien sûr, il y a des femmes qui ne flottent pas et des hommes qui flottent... 
(source: Nager + Louys)

Selon le président de la Fédération française de natation (FFN), Francis Luyce, qui a accompagné M. Larfaoui pendant toute la journée, la seule exigence du président de la FINA a été que les dimensions du bassin d'échauffement du stade nautique principal soient portées de 50x15 m à 50x25 m et de 6 à 8 lignes. Toujours selon M. Luyce, M. Tiberi a donné l'assurance que le "Super-Dôme" et que le stade nautique principal seraient de toute façon édifiés même si Paris n'obtenait pas les JO de 2008. Faute de disposer, comme toutes les autres capitales du monde, d'une piscine aux normes internationales, Paris ne pourra plus, à partir de 2002, organiser la dernière étape - considérée comme la "finale" - de la Coupe du monde comme cette année, les 27 et 28 janvier, à la piscine Georges-Vallerey. 
(source: Yahoo sport)

Le poumon est un organe segmenté : il est tout d’abord découpé en lobes par de profonds sillons, les scissures. Le poumon gauche ne possède que deux lobes, supérieur et inférieur, séparés par une scissure fortement oblique en bas et en avant; le poumon droit présente une scissure analogue, qui isole le lobe inférieur; le reste du parenchyme est partagé par la petite scissure, horizontale, en lobe supérieur et lobe moyen. 
(source: Nager + Vincent)

Aussi sympa dans un bassin qu'en dehors, Pieter Van den Hoogenband a surtout réussi un incroyable doublé olympique sur 100 et 200 mètres nage libre. Il a été a la base de la révolte de la natation européenne face à l'hégémonie du Pacifique.  
L'aventure a commencé par un agacement. Chose rare chez un garçon aussi placide. Le bon Pieter et ses copains du relais 4x100 mètres venaient de se faire sortir en séries et surtout dans l'anonymat d'un bassin de Sydney transformé en jardin des délices par le prodige australien déjà détenteur de deux médailles d'or : Ian Thorpe. VDH était sorti de l'eau avec le masque. On attendait son duel en individuel avec la torpille, on n'allait pas être déçu. Dès les demi-finales, le Hollandais signait le meilleur temps. Mais Thorpe en était déjà à sa quatrième course en trois jours. On pensait qu'il en gardait sous la pédale. N'avait-il pas signé un temps hallucinant dans un entraînement seul effectué en condition de course, un jour avant l'ouverture des Jeux (1'45''6) ? 

Et pourtant. Pourtant Stéphane Caron, consultant pour Sport24.com, se voulait volontiers parieur. «Moi, je joue une pièce sur VDH» nous déclarait-il avant la finale. A juste titre car le départ assez tranquille du jeune australien ne trahissait qu'une chose à l'arrivée, Thorpe était légèrement grillé par les efforts à répétition. Sur la dernière longueur, VDH s'envolait et signait le même temps qu'en demi-finales : 1'45''35.   
Le bruyant Sydneysider était enfin prié de se taire. Thorpe avait beau arguer une grippe une semaine après, il avait été battu par plus fort que lui.  Mais VDH avait rendez-vous avec une autre légende, Alexander Popov. Il déboulonnait le Tsar dès les séries du 100 mètres nage libre. Quand le Hollandais touchait la cellule, un temps irréel s'affichait : 47''84. Le grand Pieter lui-même n'y croyait pas. Il venait de faire exploser le mur incompressible des 48 secondes. Il déclarait, à la sortie de cet exploit, n'avoir dormi que 6 heures dans la nuit précédente et être capable de faire encore mieux. On rêvait de voir ça.  

La finale était pourtant moins rapide, mais elle entérinait la force du phénomène. Popov quittait l'olympisme avec une dernière belle médaille d'argent devant le revenant Gary Hall. Mais le grand bonhomme, c'était VDH distribuant ses sourires d'enfant fasciné par ses propres performances. Avec Inge de Bruijne, il venait de mettre fin à la domination exercée depuis toujours par les Américains et les Australiens. On le retrouvait le soir même dans ces bars qu'il éclusait naguère un peu trop avant les compétitions. Ce surdoué noyait alors son talent dans un comportement peu en rapport avec le haut niveau. Une discipline de fer et la confiance acquises lors de championnats d'Europe 1999 ultradominés en Turquie (première lésion dans l'empire Popov) avaient transformé le bonhomme et produient un des champions les plus sympas de son époque. (source: Charles Challes, Sport24.com)

J'adore ce sport, j'adore être dans l'eau.C'est vraiment ma passion. Je nage la brasse coulée sans difficultés, un peu le crawl (j'apprends) - Je plonge du bord la tete la première, je nage très très peu le dos car je n'arrive pas à m'éloigner du bord, j'ai peur, je gère mal l'inattendu, quelqu'un qui me barre la route, quelqu'un qui me tombe dessus, etc... Dans ce cas, je panique, ma respiration s'accélère, bref, je ne pense qu'à une chose rejoindre le bord. Que dois je faire pour passer cette peur ? Avez-vous des trucs et astuces ? J'aimerais beaucoup recevoir des conseils. 

C'est en effet une barrière psychologique qu'il vous faudra passer, avec patience et persévérance. 

D'après ce que vous m'en dite, ce n'est plus la peur de l'eau en elle-meme, (surtout si vous plongez déjà), mais la position dorsale qui ne vous procure pas encore le confort et la sérénité qu'elle devrait. Les sensations sont différentes, mais c'est tout ! Le dos est en effet tout sauf risqué; c'est la reprise d'équilibre et le rétablissement (forcément ventral, ou la remise en équilibre verticale) qui ne sont pas encore bien maitrisés, et qui "bloquent" encore, génèrant cette appréhension. 

Le simple fait de s'allonger tranquilement sur le dos dans le petit bain, de mettre la tête dans l'eau (les oreilles, mais pas le visage) et se s'habituer à s'entendre respirer est déjà une première étape. A ce stade, bien sur, on doit avoir travailé et résolu les problèmes de flottaison et de positionnement du corps. 

Apprendre à respirer au dessus de la surface, avec une marge de sécurité d'une dizaine de centimètres (pour pouvoir "gérer" les vagues sans panique) constitue la seconde étape.  

Ensuite, quoi qu'il arrive, il suffit de bloquer sa respiration (à l'étape même ou l'on se situe dans le cycle respiratoire, sans surtout vouloir inspirer), de redresser tranquillement la tête en enfoncant l'arrière du corps et en s'aidant des bras, pour se repositionner verticalement, et reprendre une respiration normale en évaluant la situation. 

Le Dos est une nage très sympatique, qui détend, et qui est très conseillée par les médecins pour les problèmes de dos justement; cela vaut la peine d'acquérir le niveau minimum pour en bénéficier... Bon courage à tous ceux qui essaient et persévèrent. (source: Lecteurs Nager, dont Catherine + Nager)

Van den Hoogenband, vainqueur du titre olympique du 100 m et du 200 m nage libre, devance le Tchèque Jan Zelezny, champion olympique de javelot pour la troisième fois consécutive.  

Chez les femmes, Inge De Bruijn, lauréate à Sydney du 50, du 100 m libre et du 100 m papillon, devance sa compatriote Leontien Ziljaard-Van Moorsel, triple championne olympique de cyclisme.  

Les six premiers:  

Hommes:  

1. Pieter Van Den Hoogenband (P-B) natation (45 points)  
2. Jan Zelezny (Tch) athlétisme (38 points)   
3. Steve Redgrave (G-B) aviron (29 points)  
4. Michael Schumacher (All) Formule 1 (25 points)  
5. Hermann Maier (Aut) ski alpin (10 points)  
6. Luis Figo (Por) football (8 points)  

Femmes:  

1. Inge de Bruijn (P-B) natation (40 points)  
2. Leontien Zijlaard (P-B) cyclisme (28 points)  
3. Heike Drechsler (All) athlétisme (24 points)  
4. Trine Hattestad (Nor) athlétisme (16 points)  
5. Gabriela Szabo (Rou) athlétisme (13 points)  
6. Birgit Fischer (All) kayak (8 points)  (source: Yahoo sport) 

Je t'ecris car j'ai plusieurs questions à te poser: 
- j'aimerais savoir pourquoi il y a deux extremites differentes  (une grosse et une petite) sur un pullboy? 
- et dans quel sens doit on le mettre correctement? 
- peux t' on faire un virage avec le pullboy? 
Richard. 

Voici des questions très intéressantes; en fait, il faut savoir qu'il y a globalement 2 types de pullboys: les "symétriques" (qui n'ont pas de sens particulier; les 2 extrémités étant égales) et les "typés" (ayant une extrémité plus grosse que l'autre, et donc un sens bien précis suivant la nage dans laquelle on l'utilise). 
Les pullboys "typés" sont les plus fréquents et constituent ma préférence. 

Voyons maintenant la règle de positionnement: le rôle premier d'un pullboy étant le support du bassin lors d'exercices axés sur le travail des bras, l'extrémité la plus grosse (donc celle offrant la meilleure flottaison) doit se situer sous le corps du nageur. Donc, placer-la derrière vous en Dos, et devant vous dans les 3 autres nages (toutes ventrales). Je rappelle qu'un pullboy se place le plus haut possible entre les jambes, qu'il faut donc serrer mais sans se crisper. Dans certains exercices spécifiques, l'entraineur peut demander de la placer très bas sur les jambes, entre les mollets par exemple. 

Enfin, comme tout accessoire d'entrainement et d'aide à la flottaison, il doit etre adapté au poids du nageur: il existe donc plusieurs tailles de pullboys, pour enfants, adolescents, et adultes. On peut tout à fait effectuer un virage avec un pullboy, même une culbute crawl. Les exercices basés sur un travail avec pullboy ne doivent pas constituer la majorité de l'entrainement, sauf préparation dans un cycle spécifique. 

N'hésitez pas à continuer à envoyer vos questions au site NAGER (source: Richard + Nager).

VDH a en outre empêché le Russe Alexander Popov de devenir un "Dieu de l'Olympe", en le privant du triplé sur la distance reine du 100 m libre et de dépasser le mythique Américain Johnny Weismuller, tout comme l'Australien Grant Hackett avec son compatriote Kieren Perkins sur 1500m. 
Annoncé comme la grande vedette de "ses" Jeux, le jeune prodige Ian Thorpe, 17 ans, a dû se "contenter" de trois magnifiques succès: sur 400 m libre (à 59 centièmes de seconde de la "barrière" des 3 min 40 sec) et sur 4x100 m et 4X200 m libre. Les "Aussies" ont dû se contenter de 5 médailles d'or, soit le même nombre que les Néerlandais.  

Les Américains ont en effet subi une défaite inédite au 4x100 m messieurs mais avec 33 médailles au total, dont 14 d'or, soit le même bilan de victoires qu'à Atlanta, ils ont confirmé leur hégémonie dans ce sport. Ils n'ont été absent que de sept podiums sur 32, contre 17 aux Australiens. Leur supériorité s'est notamment exprimée par le titre du 50 m libre partagé par Gary Hall Jr et Anthony Ervin. "Nous sommes toujours les meilleurs", a affirmé, avec raison, ce dernier. 

Chez les dames, la "reine" de l'année et des JO a été De Bruijn, la "Crevette", sacrée sur 50 et 100 m libre, et 100 m papillon, après avoir battu ses propres records du monde (24.13, 53.77 et 56.61), qui a largement éclipsée l'Ukrainienne Jana Klochkova (200 et 400 m 4 nages) et la Roumaine Diana Mocanu (100 et 200 m dos). 

Cette dernière, agée de seulement 16 ans, a privé Roxana Maracineanu, 25 ans, championne du monde du 200 m dos, de rejoindre dans la légende Jean Boiteux, vainqueur du 400 m libre à Helsinki en 1952, qui restera donc l'unique nageur français à être monté sur la plus haute marche du podium lors du 20ème siècle. 

Malgré les neuf records de France améliorés à Sydney, contre seulement 2 à Atlanta, grâce à Nicolas Rostoucher (400 et 1500 m libre), Maracineanu (100 et 200 m dos), à trois reprises pour le premier et à deux pour le second, Cécile Jeanson (200 m papillon), Karine Brémond (200 m brasse), Solenne Figuès (200 m libre) et aux relais 4x200 libre dames et 4x100 m 4 nages messieurs, chacun à deux reprises, et les 14 nageurs ayant au moins disputé une finale sur les 19 engagés, le bilan tricolore est toutefois inférieur aux trois médailles espérées. 

La Mulhousienne et le brasseur Stephan Perrot ayant donné la priorité en 2001, respectivement aux études et au travail, il sera difficile pour les Tricolores de faire beaucoup mieux aux Championnats du monde qui auront lieu du 17 au 29 juillet à Fukuoka (Japon). (Source: Yahoo sport)

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Réagissez vite ! 

La question qui se pose est la suivante: sachant qu'un coup de sifflet a une certine durée (même courte), les nageurs doivent-ils partir au début ou à la fin du coup de sifflet ? (ceci induit la notion de "temps de réaction" dont on parle beaucoup en athlétisme par exemple). En fait, dès que le nageur entend le début du coup de sifflet, il a de droit de s'élancer. 

Pour les systèmes électroniques, la durée de la sirène est d'environ 125 millisecondes. Plutot rapide me direz-vous, mais tout à son importance à haut niveau. Le chronométrage démarre au moment ou le starter presse le bouton de départ, avec evidemment un petit retard (de l'ordre de 2 millisecondes) pour mettre en marche le système; ceci equivaut au temps nécessaire pour l'activation du son jusqu'à la sirène. 

Pour infos, le départ au klaxon doit avoir une fréquence de 1000 hertz pendant 0,13 seconde. Le faux départ quant à lui (si la règle du départ unique n'a pas été imposée) est de fréquence  = 800 hertz pendant 0,5 sec puis coupure de 0,5 seconde puis nouvelle activation 3 fois consécutives (automatique). 

Le chronomètrage manuel: un avantage ? 

Les chronométreurs quant à eux doivent appuyer sur le bouton de départ de leur chronométre aussitôt qu'ils entendent le signal de départ ( avec leur temps de réaction qui leur est propre !! ). Il y a donc bien un décalage supplémentaire dans le chronomètrage manuel, même si dans une même course (à un niveau moins important), tous les nageurs sont globalement sur le même pied d'égalité. 

Fini le pistolet 

Le départ par pistolet n'est plus autorisé par la FINA pour des compétitions de haut niveau (voir FINA rules SW 4.4). La FINA demande un départ électronique avec un haut-parleur par couloir. 

Pourquoi ? 

Puisque le starter d'un côté (p.ex. couloir 1) émet le son de départ qui arrive chez le nageur du couloir 1, ensuite couloir 2,...et enfin chez le nageur du couloir 8. En tenant compte de la largeur de couloir FINA (2.5m) on peut calculer la différence entre le couloir 1 et 8: 7x2.5m = 17.5m. La vitesse du son env. 300m/s nous donne un temps de parcours du signal de départ de env. 6/100s pour les 17.5m. Nous  savons tous qu'en natation chaque 1/100s peut décider de la première ou de la deuxième place, mais si au départ on est déjà désavantagé de 6/100s par rapport à un autre nageur, ce n'est pas correct. 
(Source: PceNatation + Nager)

La décentralisation étant passée par là, il n'existe plus de texte officiel, les collectivités territoriales sont souveraines de leur politique et de leur choix politique d'investissement. Malgré tout, il est possible de faire référence à la circulaire interministérielle N° 74-146 B du 15/05/1974 et à sa grille appelé couramment grille 74.  

Celle-ci préconise entre autre des surfaces d'activités en fonction du nombre d'habitants.  
Ne sont pas prises en compte :  
> Les spécificités locales  
> L'évolution de la société (la population qui avait 8 ans à l'époque en à 34 maintenant et est demandeur d'activités)  

Quelques chiffres en surface d'eau couverte : 
 

Voici un exemple de maillot d'entrainement femme, une pièce, noir et blanc, idéal pour les longues et/ou nombreuses séances d'entainement en piscine. 

Présenté par la société Diana sports, il est en PBT, extrêmement résistant. Noir uni sans motif.

Voici une version beaucoup plus colorée, de chez Arena cette fois. 
La morale pourrait etre: il y a un temps pour le travail et l'apprentissage, et un temps (qu'il faut aussi savoir se donner) pour la détente. 

Ceci dit, le vaste choix de maillots, hommes et femmes, permet désormais de trouver des modèles d'entrainements ou mixtes tout à fait sympas... N'oubliez pas d'aller faire un tour dans la rubrique "Equipements" pour les conseils d'entretien. 
 

Le Français Frank Esposito s'est fait plaisir en remportant le 100 m papillon devant le Suédois Lars Frolander, médaillé d'or de la spécialité aux jeux Olympiques de Sydney. Le sociétaire d'Antibes n'a cependant pas affolé le chronomètre avec 53 sec 64/100, loin de son record de France  et meilleur temps personnel de 52 sec 52/100. Frolander a quant à lui couvert la distance en 53 sec 65/100, un temps sans rapport avec les 52 sec de son record d'Europe établi à Sydney. Comme l'a expliqué après la course Esposito, "tous les nageurs n'ont pas encore repris l'entraînement après les Jeux".  L'autre médaillé d'or de Sydney présent à Mulhouse, l'Américain Antony Ervin, champion olympique du 50 m libre exaequo avec son compatriote Gary Hall, s'est incliné sur cette distance en arrivant deuxième (22.63) derrière le Polonais Batosz Kiziersowki (22.56). Grande gagnante à l'applaudimètre, la Mulhousienne d'adoption Roxana Maracineanu, médaille d'argent du 200 m dos à Sydney, a fini troisième dans le 100 m dos (1:03.98) remporté par l'Américaine Barbara Bedford (1:02.79) devant l'Espagnole d'origine russe Nina Zhivaneskaya (1:03.02). La Roumaine Béatrice Caslaru, médaille d'argent et de bronze sur 200 m et 400 m 4 nages à Sydney, a fini bonne dernière (1:09.66) de cette épreuve.  Enfin, la Slovaque Martina Moravcova (vice-championne olympique à Sydney du 100 m papillon et 200 m libre), s'est imposée sur 100 m nage libre (56.09) devant la Suédoise Thérèse Alshamar (vice-championne olympique à Sydney sur 50 m et 100 m libre), qui a réalisé (56.66). (Source: Yahoo sport)